Ce que dit la quatrième de couv' : Le 2 novembre 2020, Caroline Darian reçoit un appel de la police de Carpentras. Son père est en garde à vue. La saisie de son matériel informatique révèle l’impensable : depuis 2013, il drogue sa femme avant de la livrer, inconsciente, à des hommes, de tous les horizons et sans contrepartie. Caroline Darian, femme debout, raconte cette déflagration, le périlleux vertige de découvrir qu’une personne aimée, son père, est capable du pire. Elle alerte aussi sur la soumission chimique, quand l’armoire à pharmacie du foyer se transforme en arme préférée des violeurs... Une voix forte, exceptionnellement courageuse, qui révèle une autre facette des violences faites aux femmes.
Demain, mon fils Tom, six ans et demi, devra porter un masque à l'école. Alors nous répétons le geste. Une fois, deux fois, dix fois.
Je poste une photo de lui, masqué, sur mon compte Facebook. Aussitôt, mon père répond : "Mon pauvre petit Tom. Bon courage pour cette rentrée un peu spéciale. Ton Papou qui t'aime"
Je ne le sais pas encore, mais c'est le dernier échange avec mon père.
Ce que j'en pense : "Si je résume, ma mère a été droguée par mon père pour être violée par des inconnus. Pendant au moins huit ans."
Cette phrase est lunaire mais elle résume assez bien l'histoire de Caroline Darian. Une histoire où se mêlent l'horreur et l'incompréhension : comment ce père, qui semblerait bien sous tous rapports, aurait drogué sa mère pour la livrer à des inconnus. (je parle au conditionnel car l'affaire n'a pas encore été jugée)
Quand l'inimaginable se produit, c'est le monde entier qui s'écroule. Caroline Darian nous raconte comment elle a déposé plainte contre son père, contacté un avocat, suivi l'instruction du dossier etc... Et surtout, comment Caroline et sa famille vont tenter de se reconstruire.
Son récit est glaçant. Son écriture est brute. Mais son témoignage est puissant. Il démontre que la criminalité touche toutes les catégories de population, jeune, vieux, riche ou pauvre, et que les actes les plus horribles peuvent avoir été commis par des individus que vous inviteriez volontiers à votre table le dimanche.
Caroline Darian attire également notre attention sur la soumission chimique, que le grand public limite encore au GHB glissé dans un verre en boite de nuit. Il s'agit de l’administration à des fins criminelles (viols, actes de pédophilie) ou délictuelles (violences volontaires, vols) de substances psychoactives (SPA) à l’insu de la victime ou sous la menace. En l'occurrence, pour arriver à ses fins, le père de Caroline Darian aurait utilisé des somnifères et des anxiolytiques, que l'on retrouve banalement dans beaucoup d'armoires à pharmacie. Donc à portée de main de n'importe qui...
Il faut beaucoup de courage pour porter plainte contre son propre père et encore plus pour raconter son histoire personnelle au public. Et Caroline Darian le fait avec beaucoup de dignité. Je lui dis bravo.
Ce que dit la quatrième de couv' : Le Jardin des Cybèles est une maison de repos qui accueille des personnes abîmées par la vie. Cet été-là, elle ouvre ses portes à deux nouvelles pensionnaires : Valérie et Anna. Quelques jours après leur arrivée, elles font la connaissance de Charline, la propriétaire d’un petit salon de thé voisin. Ce lieu chaleureux devient un véritable refuge pour les deux femmes, qui adorent s’y retrouver pour déguster des gâteaux tout en bavardant. Mais une nouvelle dramatique va chambouler l’existence de Charline et perturber ce fragile équilibre. Valérie et Anna décident alors de mettre leur propre souffrance de côté pour épauler leur amie dans cette terrible épreuve. Toutes trois embarquent pour une virée au bord de la mer. Le temps de ce séjour improvisé, elles comptent bien réapprendre à profiter de la vie?!
C'était un mardi. Il était à peine 7 heures du matin. C'est étrange comme l'expression "point de rupture" prend tout son sens quand on la vit.
Ce que j'en pense : Une lecture qui vous remontera le moral à coup sûr !
Valérie et Anna sont pensionnaires au jardin des Cybèles, une maison de repos qui accueille les personnes abîmées par la vie. Elles font la connaissance de Charline, qui gère un salon thé à proximité. Les trois femmes sympathisent et prennent plaisir à se retrouver et à évoquer ensemble leurs souffrances passées. Mais une nouvelle dramatique va chambouler l'existence de Charline. Valérie et Anna décident alors de mettre leur propre souffrance de côté pour épauler leur amie dans cette terrible épreuve. Toutes trois embarquent pour une virée au bord de la mer. Ce séjour sera plus que jamais l'occasion de souder une belle et solide amitié.
C'est le premier roman que je lis de Carène Ponte et c'est une belle surprise. Le roman se lit (voire se dévore) très vite et l'histoire est plutôt fluide.
Il s'agit d'une histoire d'amitié et de solidarité entre trois personnages : Valérie, Anna et Charline. Toutes les trois n'ont pas été épargnées par l'existence mais elles choisissent ensemble de faire de leur vulnérabilité une force qui va souder leur amitié. Avec beaucoup de délicatesse et d'humour, l'auteure nous fait pénétrer dans l'intimité de leurs sentiments, ceux que l'on n'ose pas avouer, sauf aux rares êtres, qui, un jour, vous ont tendu la main. C'est une belle leçon de résilience !
J'adore ce genre de lecture un peu "doudou" qui fait du bien au cœur et à l'âme ! Et Dieu sait qu'on en a besoin en ce moment ! Alors si vous cherchez une lecture légère, qui fait du bien et qui vous réconcilie avec le genre humain... je vous recommande !
Un grand merci aux éditions fleuve et à NetGalley qui m'ont permis de découvrir cette auteure !
Ce que dit la quatrième de couv' : Année scolaire 2015-206, une station balnéaire dans le sud est de la France. Un concours de mannequins annonce une étape de sa tournée régionale dans cette ville qui ne s'anime d'ordinaire qu'à l'arrivée des touristes en été.
Au lycée, Garance Sollogoub, la fille de la professeure de danse, est d'ores et déjà donnée favorite. Son étonnante beauté attire l'attention d'un cercle d'élèves plus âgés, les plus populaires - que Garance, adolescente sans histoire, a toujours vénérés sur les réseaux sociaux. Pour être des leurs, elle va devoir consentir à quelques sacrifices. En échange, ils vont l'initier aux secrets et à la férocité de la meute.
Quelques mois plus tard, Garance disparaît.
De ces quinze années d'existence, Garance a finalement déduit qu'il ne servait à rien de discuter avec sa mère. Une personne dotée d'assez de volonté pour contrôler, sans relâche, les centaines de muscles nécessaires au maintien d'une posture parfaite ne cédera jamais.
Ce que j'en pense : Nous sommes dans le sud de la France, dans les années 2010. Garance est une jeune fille de quinze ans qui mène une vie plutôt tranquille entre le lycée et les cours de danse de sa mère. Un concours de mannequins annonce une étape de sa tournée régionale près de chez Garance qui est donnée favorite.
Au lycée, la beauté singulière de Garance attire l'attention d'un groupe d'élèves plus âgés, les plus populaires, que Garance a toujours vénérés sur les réseaux sociaux. Pour se faire accepter par ce groupe, Garance va devoir changer son comportement. En échange, ils vont l'initier aux secrets et à la férocité de la meute.
Quelques mois plus tard, Garance disparait...
Bienvenue dans la génération "milléniale" ! Une génération qui n'a jamais connu le monde sans internet, qui communique via les réseaux sociaux, qui a ses propres codes et son propre langage. Francesca Serra nous en dresse un portrait que je trouve très juste. Notre entrée en matière est un coup de poing : qu'est-il arrivé à Garance ? Qu'est-ce qui a pu provoquer sa soudaine disparition ?
Petit à petit, on comprend que sa disparition a un lien avec la nouvelle bande d'amis de Garance, leur conception tout à fait particulière des rapports humains et la façon dont ils ont "intronisé" et aspiré Garance à l'intérieur de cette "tribu" (c'est très frustrant, je ne peux pas vous en dire plus sinon je vais divulgâcher votre lecture !)
L'histoire est captivante, avec du suspens, c'est un vrai page turner ! On alterne les périodes avant et après la disparition de Garance, entrecoupées de conversations whatsapp, ce qui donne du dynamisme au récit.
Seul bémol : je n'ai pas accroché à la fin de l'histoire ; je n'ai pas vraiment compris le choix de l'auteure, mais c'est personnel.
Parisienne vivant sous les toits, accro au shopping et à son chat, Pénélope Bagieu retrace dans cette BD les petits tracas que l'on a toutes rencontrées : l'appartement trop petit, les chaussures qu'elle ne peut pas prendre chez elle, les fesses qui ne rentrent pas dans le jean, le casse tête des cadeaux de Noël...
Si vous voulez vous offrir quelques minutes de légèreté, de pétillance et de drôlerie, je vous recommande vivement cette (trop) courte bande dessinée !
Perveen Mistry travaille dans le cabinet d’avocats de son père, devenant la toute première femme avocate en Inde. Un statut qui ne manque pas de faire débat, alors que seuls les hommes sont autorisés à plaider au tribunal… Mais quand un meurtre est commis dans une riche maison musulmane pratiquant la purdah (séparation stricte des femmes et des hommes), elle est la seule à pouvoir mener l’enquête.
Faisal Mukri a été retrouvé poignardé à Malabar Hill, chez son ancien employeur, Omar Farid, un riche marchand, lui-même décédé quelques semaines auparavant. Les potentielles témoins du crime sont ses trois veuves, vivant recluses dans une partie de la maison interdite aux hommes. Perveen arrivera-t-elle à comprendre ce qui s’est réellement passé ?
Une enquête passionnante, qui nous plonge au cœur de la société indienne du début du XXe siècle et de la place qu’y occupent les femmes
Perveen rencontra l'étranger le matin ; ils avaient failli se télescoper. Elle était tombée sur lui alors qu'il se tenait à demi caché dans l'entrée en portique de la Maison Mistry.
Ce que j'en pense : Années 1920, en Inde.
Perveen Mistry devient la première femme avocate en Inde (personnage fictif), ce qui fait beaucoup parler d'elle. Lorsqu'un homme d'affaires est retrouvé assassiné dans une maison musulmane de Malabar Hill pratiquant la purdah (séparation stricte des femmes et des hommes), elle est la seule à pouvoir mener l'enquête. En effet, les trois témoins potentiels de ce meurtre sont trois veuves qui ne peuvent s'adresser qu'à Perveen parce qu'elle est une femme. Perveen va donc tenter de découvrir ce qui s'est réellement passé à Malabar Hill.
En parallèle, l'auteure raconte l'histoire personnelle de Perveen : ses difficultés à la fac de droit parce qu'elle était une femme, une histoire d'amour passée qui a laissé des traces dans sa vie présente.
"Les veuves de Malabar Hill" est un roman qui vous fera voyager à coup sûr dans l'Inde des années 1920. On est véritablement plongé dans l'ambiance de cette Inde sous la tutelle britannique, où les femmes peinent encore à avoir une existence hors du mariage. Et parmi ces femmes, se distingue Perveen❤️ Perveen est un personnage que j'ai adoré : une femme forte, qui combat les préjugés (ils ont la vie dure en Inde) avec une pointe de malice 😉 On adore !
La lecture est très fluide, l'histoire se lit comme un roman policier dont j'ai adoré l'intrigue. J'ai également adoré les parties sur l'histoire personnelle de Perveen que j'ai trouvé très riches, tant sur l'aspect culture indienne, que d'un point de vue féministe. Bref, je suis totalement conquise ! Seul bémol : quelques longueurs qui font que je ne peux pas estampiller ce roman "coup de cœur" (qui dit encore "estampiller" ?")
Ce que dit la quatrième de couv' :Voici l’histoire d’une petite bande, celle de quelques anciens élèves d’un lycée des beaux quartiers de Paris dans les années 1990. François, dandy, beau-parleur, courtise les élèves d’un autre établissement où il est devenu surveillant. Hadrien, qui organisait les soirées les plus délurées, voit à son grand regret sa petite amie enceinte. Pierre-Marie, aristocrate, enterre son père dans le manoir familial. Laurent, professeur au Caire, s’apprête à épouser une paysanne égyptienne illettrée. En chemin, le narrateur évoque l’histoire de sa famille, d’un grand-oncle, beau jeune homme arrêté par la Milice parce qu’il était juif. Une bande, cela peut-il durer avec l’arrivée de l’âge ? Qu’en est-il des amitiés éternelles, des passions jurées, des ambitions folles ?
Nous étions une bande de garçons qui habitaient dans le quartier d'Auteuil, dans le XVIème arrondissement. Nous avions passé notre scolarité au lycée Jean-Baptiste-Say, 11 bis rue d'Auteuil, situé entre Boulogne et la Seine. C'était un édifice qui datait de 1895, mais nous savions par un discours que le proviseur, Madame Marceau, avait tenu à chaque début d'année, de 1989 à 1994, que sur ce même terrain, Racine eut son hôtel particulier, puis que dans ce même hôtel, Madame de Récamier reçut les poètes Chateaubriand et Lamartine.
Ce que j'en pense : On s'était dit rendez-vous dans dix ans...
Ils ont fréquenté le même lycée huppé dans le Paris des années 1990. Il y a François, dandy, beau-parleur, qui courtise les élèves d’un autre établissement où il est devenu surveillant. Hadrien, qui organisait les soirées les plus délurées, voit à son grand regret sa petite amie enceinte. Pierre-Marie, aristocrate, enterre son père dans le manoir familial. Laurent, professeur au Caire, s’apprête à épouser une paysanne égyptienne illettrée.
Ils se recroisent des années plus tard. Que restera-t-il de leur amitié ? Que seront devenus leurs rêves, leurs espoirs ?
Un premier roman sur l'amitié masculine et le temps qui passe. Une immersion dans le monde de la jeunesse bourgeoise du 16ème arrondissement. Des histoires de vie, de réussite, d'échecs, d'amertume, de rédemption etc...
Je ne pense pas être le public idéal pour ce genre de lecture. Je vous invite donc à consulter les avis d'autres lecteurs/trices qui y ont été plus sensibles.
Ce que dit la quatrième de couv' :Il a quarante ans, il est marié, directeur commercial et père de deux enfants. Elle a vingt ans, elle n’est rien et elle n’a personne. Que lui. Quand elle essaie de mourir, il l’envoie loin, pour qu’elle se reconstruise, qu’elle apprenne à vivre sans lui. Pour sauver sa famille aussi. C’est l’histoire d’un nouveau départ dans un village de montagne, l’histoire d’un hôtel, de saisonniers qui vivent ensemble, qui se jaugent, se méfient, se repoussent… C’est l’histoire d’amitiés, de doutes, de colère, de rancœur, d’amour aussi. C’est l’histoire des autres… ceux qu’on laisse entrer dans sa vie… ceux qui nous détruisent mais surtout ceux qui nous guérissent.
Philippe poussa la porte du studio et fut étonné de se retrouver dans l'obscurité. Elle n'avait pas ouvert les volets, la pièce était plongée dans le noir. Pourtant, il était midi passé.
Ce que j'en pense : Méga Coup de Cœur Intergalactique❤️
"Je revenais des autres" (une référence au poème d'Andrée Chedid ?) est un titre qui m'a interpellé. Que peut bien signifier "revenir des autres ?" De qui revient-on ? Revient-on seul ? Et dans quel état ?
Ambre est une jeune femme d'une vingtaine d'années qui vit une relation toxique avec Philippe, marié et père de deux enfants. Lorsqu'elle se rend compte que cette relation ne mènera nul part, elle tente de mettre fin à ses jours. Pour sauver Ambre et aussi sa propre famille, Philippe va l'envoyer dans un chalet à la montagne tenu par un couple d'amis. Ambre y travaillera comme saisonnière pendant 6 mois. Sur place, elle fera connaissance avec les autres saisonniers avec qui elle va cohabiter et nouera avec eux des liens qui vont marquer à jamais sa vie. Pour Ambre, c'est l'histoire d'un nouveau départ mais aussi des histoires d'amitié, d'amour, de pardon, de tolérance, de colère, de doutes...
Ce livre est un tourbillon d'émotions et j'ai d'ailleurs du mal à rassembler les miennes pour vous expliquer combien j'ai aimé cette histoire. Le roman débute pourtant dans l'ombre puisqu'il commence par la tentative de suicide d'Ambre (qui s'est soldé par un torrent de larmes pour moi). Ambre intègre alors le chalet et rencontre les autres saisonniers : Tim, Rosalie, Andrea, Wilson, Delphine, Daniel etc... Tous ces personnages qui seront comme des petites lumières d'étoiles et qui vont veiller les uns sur les autres.
Mélissa Da Costa va petit à petit nous tirer vers la lumière, vers la résilience, l'espoir, les autres. On ne sort pas indemne de ce beau voyage : j'ai pleuré, parfois ri, j'ai eu envie de secouer certains personnages, j'ai éprouvé de la compassion pour d'autres : mais je les ai tellement aimés ! Tous ont été abîmés par la vie et pourtant tous vont se soutenir comme les maillons d'une même chaîne.
A présent, j'ai compris ce que signifiait "revenir des autres" : cela signifie laisser les autres entrer dans notre vie et les laisser nous réparer... Cela signifie revenir à la lumière, guérie de soi, la tête haute, le sourire aux lèvres, prêt/e à tout reconstruire.
Ce que dit la quatrième de couv' : Brillante étudiante en sciences politiques, Laure Meziani est la secrétaire personnelle de Pierre de Morangles, le candidat aux électorales du Nouveau Parti du Centre. La fascination qu’elle lui voue est sans borne, et, lorsqu’il semble enfin la remarquer, elle profite de ces heures volées sans penser au lendemain. Mais après leur première nuit, elle ne s’attendait pas à se réveiller à côté d’un cadavre ! Pas plus qu’elle ne s’attendait à plonger dans l’envers du décor qui accompagne cette mort aussitôt transformée en évènement médiatique et maquillée en un argument de campagne. Car si la vie de Laure lui semble s’arrêter, la campagne, elle, ne doit pas s’interrompre, et ce qu’il faut désormais au NPC, c’est surprendre… Quelle plus habile surprise qu’un nouveau visage, que personne ne connaît, que personne n’attend : celui de Laure.
Alix de Morangles, charismatique veuve de Pierre et avocate renommée, a décidé de faire de la jeune femme la nouvelle candidate du parti, modulant son image, s’appuyant sur son ambition pour camoufler sa naïveté et son manque d’expérience. Première surprise, Laure sera la première conquise par ce défi : grimper les échelons, acquérir du pouvoir. Laure n’est pas si naïve ; elle sait qu’elle va devoir se battre pour se faire une place dans un cercle très fermé… et surtout pour y rester. Jusqu’où ? Jusqu’à quand ?
Le drap de soie gris-bleu avait glissé sur la moquette. Laure se pencha et le tira sur les reins de son amant. La rumeur des voitures qui circulaient sur l'avenue du Président Wilson parvenait atténuée dans le vaste appartement à peine meublé.
Ce que j'en pense : Petite déception...
Je m'attendais à lire un livre sur les coulisses des élections politiques, les stratégies que l'on peut mettre en place pour gagner face aux autres parties, l'adversité etc... Malheureusement, ce ne fut pas le cas (ou très peu). Je n'ai pas accroché à l'histoire et aux personnages. Bref, je suis passée à côté !
Dommage !
Bien évidemment, ceci n'est que mon avis. Je vous encourage à vous faire votre propre avis sur ce livre et à aller en voir d'autres, qui auront peut-être apprécié le livre et en parleront mieux que moi !